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    Tartelettes aux abricots
     

    Pour 8 personnes

    Préparation : 25 mn - Cuisson : 35 à 45 mn - Repos pâte : 30 mn

    500 g d'abricots mûrs

    Pour la pâte : 250 g de farine + 30 g pour le plan de travail, 60 g de sucre

    125 g de beurre ramolli + 20 g pour le moule, 2 jaunes d'œufs battus

    Pour la crème : 5 cl de liqueur d'abricot, 4 œufs, 20 cl de crème fraîche

    100 g d'amandes en poudre, 80 g de sucre, 4 gouttes d'essence d'amandes amères

    Préparez la pâte en mélangeant la farine, le sucre, ajoutez le beurre en petits morceaux

    Travaillez pour obtenir un mélange sableux, incorporez peu à peu les jaunes d'œufs

    Faites une boule, laissez reposer au frais 30 minutes

    Coupez, dénoyautez les abricots

    Mélangez tous les autres ingrédients qui composent la crème

    Etalez la pâte au rouleau sur le plan de travail fariné

    Tapissez un moule rectangulaire beurré, versez la crème, disposez les abricots

    Faites cuire au four chaud à 180+C (th.5) pendant 35 à 45 mn

    La crème doit prendre, laissez refroidir avant de déguster

    Vous pouvez utiliser des abricots secs trempés.

     

     

    Merci Manola pour le cadre 

     

     

     


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     Les vitrines

    Ces meubles d'appoint mettent en valeur des petits trésors et préservent de la poussière....ou d'éventuelles maladresses !!!

     

     

    Les premières vitrines apparaissent en Hollande au XVIIe siècle, les bourgeois et marchands des grandes villes emploient alors ces armoires vitrées pour entreposer leur vaisselle, leur argenterie et tous les bibelots. Au milieu du XVIIIe siècle, les vitrines suspendues au décor rococo ou chinois connaissent une grande vogue en Grande-Bretagne

     

     

    Dès la fin du XVIIIe siècle, sous le règne de Louis XVI, elles traversent la Manche pour gagner la France. A la fois fonctionnelles et précieuses, les vitrines permettent de ranger et surtout de mettre en valeur les nombreux souvenirs rapportés de voyages, fort prisés à cette époque.

     

     

    Mais ces meubles ne connaîtront véritablement leur heure de gloire qu'au XIXe siècle. L'émergence de la bourgeoisie et les débuts du tourisme développent alors un certain goût pour l'exposition d'objets divers qui reflètent le statut de leur propriétaire

     

     

    Poour répondre à une demande croissante et s'harmoniser à tous les genres de mobilier, les vitrines suivent les styles en vogue. A la fin du XIXe siècle, succédant aux termes "montre", "cage" ou "armoire", le mot "vitrine" apparaît. Il désigne alors les meubles d'une grande diversité de formes, de décors, et d'emplois.

     

     

    Dans la pratiquer, on peut donc aisément y associer les armoires à étagères ou bibliothèques de petites dimensions. Pratiques et élégantes, les vitrines connaissent toujours le succès en s'adaptant à tous les modes de vie et tous les usages

     

    Les photos sont du net


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    Coquelets au barbecue

     

    Pour 4 personnes

    Préparation : 20 mn - Cuisson : 30 à 35 mn

    2 coquelets coupés en deux, 4 gousses d'ail, 2 c à soupe de concentré de tomates

    1 c à café de cumin en poudre, 75 g de beurre, sel, poivre

    Décollez la peau des coquelet, en glissant les doigts entre la chair

    Et la peau sans ôter complètement cette dernière

    Mixez le beurre avec le concentré de tomates, le cumin

    Les gousses d'ail pelées et écrasées, du sel et du poivre

    Glissez un peu de cette préparation sous la peau des coquelets

    Faites fondre le reste dans une petite casserole

    Faites cuire les coquelets 30 à 35 mn sur le barbecue

    Retournez-les de temps en temps, en les badigeonnant avec un peu de farce

    Servez accompagné de tomates grillées au barbecue avec des rondelles d'oignons

     

     

     

    iMerci Manola pour le cadre

     


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     Le chapeau de paille

    Le chapeau de paille est un chapeau qui est tressé avec de la paille ou du roseaux. Il est conçu pour protéger la tête des ardeurs du soleil. Déjà porté dans l'Antiquité, on n'en connaît pas les premières formes. Il existe différentes formes de chapeaux de paille, aux bords plus ou moins larges, à la calotte haute, plate, arrondie, etc. Certains sont toujours utilisés dans la mode et comme un élément décoratif d'un uniforme.

    De même, la paille peut être tressée de différentes manières en fonction du rendu voulu, elle peut aussi être teinte ou non et une fois le chapeau fini, il peut être décoré d'un simple ruban ou de fleurs. Quand il a de larges bords et une calotte arrondie, on parle de sombrero. Si ses bords sont petits et sa calotte plate, c'est un canotier. Il existe aussi des chapeaux coniques que l'on retrouve en Asie.

    En Italie, au XVIe siècle, sous l'impulsion de Cosme Ier[1], le chapeau de paille toscan devient la marque d'élégance de toutes les cours princières[2]. Activité économique très importante, la culture de la paille – destinée au tressage - occupait un tiers de la partie de la surface cultivable et plusieurs dizaines de milliers de personnes vivaient de cet artisanat. Produit principalement par les villes de Florence, Signa et Fiesole.

    Il est connu universellement comme « Leghorn » car embarqué et exporté depuis le port de Livourne vers les pays les plus lointains, comme l'Amérique : en 1870, le volume d'exportation était évalué à 8 millions de pièces. En 1986, dans la province de Florence, pour perpétuer le travail traditionnel de la paille florentine, il est créé le Consorzio Il Cappello di Firenze (Consortium Le chapeau de Florence) regroupant une vingtaine d'entreprises du secteur de la chapellerie

     Cette industrie fut florissante aussi en Suisse et au Royaume-Uni jusqu'à la fin du XIXe siècle. Aux États-Unis, l'industrie du chapeau de paille aurait débuté en 1798 sous l'impulsion de Betsey Metcalfe, alors âgée de 14 ans, qui aurait copié avec de la paille locale un bonnet de paille importé du Royaume-Uni qu'elle avait vu dans une vitrine. Sa création plut tellement qu'elle reçut de nombreuses commandes et lança l'industrie du chapeau de paille.

    Au XIXe siècle, le travail des enfants était encore courant et lors de l'afflux de travail à l'approche de l'été, il était fréquent qu'ils soient embauchés à la fabrication des chapeaux.

    En France, à partir du XIXe siècle, les femmes aisées portent un chapeau de jardin pour se promener dans leur jardin ou dans la campagne. Il était conçu comme un chapeau de paille, pour sa légèreté, mais prenait un air recherché, selon la mode ou l'imagination de sa propriétaire, à l'aide de quelques ornements simples (rubans) voire rustiques (fleurs, feuilles, ...), en se maintenant autant que possible éloigné des formes exubérantes des chapeaux à usage social plus large à la même époque.

     

     

     


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    Filets de lieu jaune
     

    Pour 4 personnes

    Préparation : 15 mn - Cuisson : 10 mn - Macération : 1 heure

    4 filets de lieu jaune de 200 g chacun, 1 c à café de graines de fenouil

    2 c à soupe de persil frais haché, 3 c à soupe de jus de citron, i gousse d'ail hachée

    3 c à soupe d'huile, sel, poivre, tranches de tomates et de citron pour la décoration

    Incisez superficiellement la chair des filets en diagonales

    Posez-les bien à plat dans le fond d'un plat creux

    Mettez tous les autres avec du sel du poivre dans le bol du mixeur

    Mixez longuement et versez ensuite sur les filets de poisson

    Couvrez le plat, mettez-le au frais 1 h en retournant plusieurs fois les filets

    Retirez les filets et faites-les cuire 5 mn de chaque côté sous le gril

    Arrosez-les souvent avec la marinade

    Servez-les garnis de tranches de tomates et de citron et une purée d'épinards


     
    Merci Manola pour le cadre 

     

     

     

     

     


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